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ME DECLARO VIVO de Chamalú, indio quechua
Posted on July 23, 2017 at 8:53 AM |
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Saboreo cada acto. Antes cuidaba que los demás
no hablaran mal de mí, entonces me portaba como los demás querían y mi conciencia me censuraba. Menos mal que a pesar de mi
esforzada buena educación siempre había alguien difamándome. ¡Cuánto agradezco a esa gente que me enseñó que la vida no es un escenario! Desde entonces me atreví a ser como soy. He viajado por todo el
mundo, tengo amigos de todas las religiones; conozco gente extraña: católicos, religiosos pecando y asistiendo a misa puntualmente, pregonando lo que no son, personas que devoran al prójimo con su lengua e intolerancia, médicos que están peor que sus pacientes, gente millonaria pero infeliz, seres que se pasan el día quejándose, que se reúnen con familia o amigos los domingos para quejarse por turnos, gente que ha hecho de la estupidez su manera de vivir. La montaña es mi punto de
referencia: ser invulnerable, que cada uno diga lo que quiera, yo sigo caminando indetenible. Soy guerrero: mi espada es el amor, mi escudo el humor, mi hogar la coherencia, mi texto la libertad. Si mi felicidad resulta
insoportable, discúlpenme, no hice de la cordura mi opción. Prefiero la imaginación a lo indio, es decir inocencia incluida. Quizás solamente teníamos
que ser humanos. El que tú no veas los
átomos, no significa que no existan. Por eso es muy importante
que sea el Amor lo único que inspire tus actos. Sin Amor nada tiene sentido,
sin Amor estamos perdidos, sin Amor corremos el riesgo de estar de nuevo transitando de espaldas a la luz. En realidad, sólo hablo para recordarte la importancia del silencio. Anhelo que descubras el
mensaje que se encuentra detrás de las palabras; no soy un sabio, sólo un enamorado de la vida. El silencio es la clave, la simplicidad es la puerta que deja fuera a los imbéciles. La gente feliz no es
rentable, con lucidez no hay necesidades innecesarias. No es suficiente querer despertar,
sino despertar. La mejor forma de despertar
es hacerlo sin preocuparse porque nuestros actos incomoden a quienes duermen al lado. Recuerda que el deseo de
hacerlo bien será una interferencia. Es más importante amar lo que hacemos y disfrutar de todo el trayecto. La meta no existe, el camino
y la meta son lo mismo. No tenemos que correr hacia ninguna parte, sólo saber dar cada paso plenamente. Quien acepta lo que es y se habilita para hacer lo que puede, encarna las utopías y lo imposible se pone a disposición. La mejor manera de ser feliz
es: ‘ser feliz’. Reconstruye tu raíz y saborea la vida. Somos como peces de mares
profundos, si salimos a la superficie reventamos. La frivolidad y la
intrascendencia condenan la vida a la muerte. Cuando somos más grandes que
lo que hacemos, nada puede desequilibrarnos. Pero cuando permitimos que las cosas sean más grandes que nosotros, nuestro desequilibrio está garantizado. El corazón está en
emergencia por falta de amor. Hay que volver a conquistar la vida, enamorarnos otra vez de ella. Nuestro potencial interior
aflora espontáneamente cuando nos dejamos en paz. Quizá sólo seamos agua
fluyendo; el camino nos lo tenemos que hacer nosotros. Más no permitas que el cauce
esclavice al río, no sea que en vez de un camino tengas una cárcel. La infelicidad no es un
problema técnico, es el resultado de haber tomado el camino equivocado. Amo mi locura que me vacuna
contra la estupidez. Amo el amor que me inmuniza ante la infelicidad que pulula por doquier, infectando almas y atrofiando corazones. El amor es, a nivel sutil, la esencia de nuestra instancia inmunológica. La gente está tan
acostumbrada a complicarse, que rechaza de antemano la simplicidad. La gente está tan
acostumbrada a ser infeliz, que la sensación de felicidad les resulta sospechosa. La gente está tan reprimida,
que la espontánea ternura le incomoda y el amor le inspira desconfianza. Hay cosas que son muy
razonables, objetivas y… apestan. Ya no podemos perder el
tiempo en seguir aprendiendo técnicas espirituales cuando aún estamos vacíos de amor. Quienes no están preparados
para escuchar tienen la recompensa de no enterarse de nada. Disfruta de lo que tienes,
recibe lo que venga, crea e inventa lo que necesites, haz sólo lo que puedas, y fundamentalmente celebra lo que tengas. La vida es un canto a la
belleza, una convocatoria a la transparencia Cuando esto lo descubras
desde la vivencia, el viento volverá a ser tu amigo, el árbol se tornará en maestro y el amanecer en ritual. La noche se vestirá de
colores, las estrellas hablarán el idioma del corazón y el espíritu de la tierra reposará otra vez tranquilo. ¡Me declaro vivo! Fuente: “ME DECLARO VIVO” de Chamalú, indio quechua En FRANCAIS |
“Je me déclare en vie” de Chamalú en français
Posted on July 23, 2017 at 8:48 AM |
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Je savoure chaque acte. Avant je faisais attention à ce qu’on ne parle pas mal de moi, d’ailleurs je me comportais comme les autres voulaient et ma conscience me censurait. Heureusement, malgré mes efforts de bonne éducation, il y avait toujours quelqu'un pour me diffamer. Je remercie tellement ces gens qui m’ont appris que la vie n'est pas une scène ! Depuis, j'osais être moi-même. J'ai parcouru le monde, j'ai des amis de toutes les religions ; je connais des gens étranges : des catholiques, des religieux qui pêchent et assistent à la messe toujours
à l'heure, se vantant de ce qu'ils ne sont pas, des gens qui dévorent leur prochain avec leur langue et leur intolérance, des médecins qui se portent plus mal que leurs patients, des gens millionnaires mais malheureux, des êtres qui passent la journée à se plaindre qui se retrouvent en famille ou entre amis le dimanche pour se plaindre à tour de rôle, des gens qui ont fait de la bêtise leur mode de vie. Le vieil arbre m'a appris La montagne est mon point de référence : invulnérable, que chacun dise ce qu'il veut, je continue mon chemin imparable. Je suis un guerrier : mon épée est l’amour, l’humour mon bouclier, la cohérence est ma maison, et mon texte la liberté. Si mon bonheur vous semble insupportable, excusez-moi, la raison n’est pas mon choix de prédilection. Je préfère l'imagination à l’indienne, c'est à dire innocence comprise. Peut-être ne devions-nous être qu’humain. Que vous ne voyiez pas les atomes, ne signifie pas qu'ils n'existent pas. C’est pour ça qu’il est très important que ce soit l'Amour la seule chose qui inspire tous vos actes. Rien n'a de sens sans amour, sans amour, nous sommes perdus, sans amour, nous courons le risque de nous retrouver cheminant dos à la lumière. En réalité, je parle seulement pour te rappeler l'importance du silence. J’ai hâte que tu découvres le message qui se trouve derrière les mots ; je ne suis pas un sage, juste un amoureux de la vie. Le silence est la clé, La simplicité est la porte qui laisse dehors les imbéciles. Les gens heureux ne sont pas rentables, avec lucidité il n’y a pas de besoins inutiles. Ce n’est pas le tout de vouloir se réveiller, il faut se réveiller. La meilleure façon de se réveiller est de le faire sans se préoccuper si nos actes incommodent ceux qui dorment à côté. Rappelle-toi que le désir de bien faire sera une interférence. Il est plus important d'aimer ce que nous faisons et de profiter tout au long du chemin. Le but n'existe pas, le chemin et le but sont la même chose. Nous ne devons pas courir vers nulle part, sinon savoir comment profiter pleinement de chaque pas. Non, ne résiste pas, rends-toi à la vie. Celui qui accepte ce qu’il est et se donne les moyens de faire ce qu’il peut, incarne les utopies et l'impossible est mis à disposition. La meilleure façon d'être heureux est : d’« être heureux ». Reconstruis tes racines et savoure la vie. Nous sommes comme des poissons des mers profondes, si nous sortons à la surface, nous crevons. Frivolité et manque d’importance condamnent la vie à la mort. Quand nous sommes plus grands que ce que nous faisons, rien ne peut nous faire perdre l'équilibre. Mais quand nous permettons que les choses soient plus grandes que nous, notre déséquilibre est garanti. Le cœur est en urgence par manque d'amour. Nous devons reconquérir la vie, Notre potentiel intérieur émerge spontanément quand nous nous laissons en paix. Peut-être que nous sommes juste de l'eau qui coule; le chemin, c’est à nous de nous le faire. Par ailleurs, ne laisse pas le lit asservir la rivière, de peur qu’au lieu d'un chemin tu te creuses une prison. Le malheur n’est pas un problème technique, c’est le résultat d'avoir pris la mauvaise direction. J'aime ma folie qui me vaccine contre la bêtise. J'aime l'amour qui m’immunise contre le malheur qui grouille partout, infectant les âmes et atrophiant les cœurs. L'amour est, de façon subtile, l'essence de notre ressort immunitaire. Les gens sont tellement habitués à se compliquer la vie, qu'ils rejettent d'avance la simplicité. Les gens sont tellement habitués à être malheureux, que le sentiment de bonheur en devient suspect. Les gens sont tellement réprimés que la tendresse spontanée gêne et l'amour inspire la méfiance. Il y a des choses qui sont très raisonnables, objectives et... qui puent. Nous ne pouvons plus perdre de temps à continuer à apprendre des techniques spirituelles quand nous sommes
encore vides d'amour. Ceux qui ne sont pas prêts à écouter ont la récompense de ne rien capter. Profite de ce que qui est à toi, reçois ce qui vient, crée et invente ce dont tu as besoin, fais seulement ce que tu peux, et surtout félicite-toi de ce que tu as. La vie est un hymne à la beauté, un appel à la transparence Lorsque tu t’en rends compte par expérience, le vent devient ton ami, l'arbre se change en maître et l'aube en rituel. La nuit se vêtira de couleurs, les étoiles parleront la langue du cœur et l'esprit de la terre reposera enfin au calme. Je me déclare en vie ! ~~~ Source : “ME DECLARO
VIVO” de Chamalú, indien quechua. Traduction de Julie Rogissart ~~~ En CASTELLANO |
Locura
Posted on July 18, 2017 at 4:53 AM |
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Testimonio: "Me cambiaste la vida"
Posted on June 8, 2017 at 12:27 PM |
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" Deja
que te cuente un poco lo que me está pasando: Primero mi viaje ha sido increíble.
Por supuesto, nada fue como previsto, de hecho, después de una semana (de 3)
abandoné toda planificación y fue siguiendo el rollo, que es algo que intento hacer
con mi vida últimamente también, y funciona de perla hasta ahora (más sobre
este tema adelante). Al
final, pasé 2 semanas de mis vacaciones en una isla diminuta (2 x 3 km) de la
que me enamoré – también me enamoré del buceo y pienso seguir con ello aquí (en
Junio, que el tiempo ya está mejorando). Pensé
en un montón de cosas durante el viaje, decidí retomar más deporte, mirar de
cambiar de profesión, dejar el baile y el canto, y también revisité mis ideas
sobre la vida en general. Desde
que volví (el 2 de Mayo), la vida ha sido pura magia. He tenido mogollón de
actividad en mi vida “romántica” – que como ya sabes fue un poco problemática
antes – y ahora parece que estoy viendo alguien (no quiero gafarla, no sé cuánto
durará o adónde nos llevará, pero improviso sobre la marcha como dicen y a ver
lo que pasa). También
voy probando todo tipo de actividades, recientemente el paracaidismo y el surf
(el kite-surf sigue pendiente en la lista) – una vida muy fluida. ¡No tengo
absolutamente nada de que quejarme! Todo es tal y como siempre quise que fuera,
incluso mis perros portándose bien y mi casa constantemente llena de gente (una
amiga se quedó estas 2 últimas semanas y ahora otra llega, y luego vienen ¡mi
padre y mi abuela!). Y hoy, descanso un poco… ¡Así
que sí! Las cosas van de maravillas[…]¡Dios mío, me cambiaste la vida! Tú y
el viaje, aunque tuviste un efecto a más largo plazo (lo que me llevó al viaje). " Magdalena, después de 3 meses de
terapia |
El Neuro-Training, ¿otra terapia alternativa?
Posted on June 7, 2017 at 6:34 AM |
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En este contexto,
¿presenta el Neuro-Training una alternativa generalista compatible con las
especialidades médicas? ¿Medicina vs Neuro-Training? Indagando las
definiciones de cada término para darnos cuenta de sus similitudes y matices,
consideramos la medicina generalista, según la WONCA (World Organization of
National Colleges, Academies), como una ciencia que trata las enfermedades y
por extensión, su prevención y la noción de salud. En su lado
generalista, o su sinónimo global, se define como extendiéndose
a todo el mundo y a todos los casos posibles. La medicina en su
definición queda muy teórica, basada en el análisis físico y biológico de
síntomas, y en cuanto se pasa a la práctica con pacientes, entramos la mayoría
del tiempo en el recetar de medicamentos, tratamientos y/o cuidados
terapéuticos. Y ¿la definición
de Neuro-Training? No figura en ningún diccionario y es normal que no os suene
ya que esta disciplina lleva poco más de una década practicándose. El nombre junta
la idea de neurología, sistema nervioso (Neuro-) y de entrenamiento (Training
en inglés). Según José Chouraqui, co-fundador del Neuro-Training, “además de
nuestro bagaje genético vehiculado por nuestros cromosomas, todas nuestras
sensaciones y experiencias de vida se imprimen a nivel celular.” “El
Neuro-Training proporciona al sistema nervioso una nueva experiencia
neurológica para que el subconsciente tenga una mayor elección de respuesta.” ¿Verdad que no
dais conscientemente la orden a vuestros pulmones de procesar el aire que
respiráis? ¿O a vuestros intestinos de dónde llevar los nutrimientos y como
eliminar los desechos? Pues estos sistemas están regidos por nuestros genes, y
heredamos de las costumbres hasta subconscientes de nuestros antepasados. Sin
embargo, de todas las soluciones que sus cuerpos y mentes pusieron en marcha en
el momento adecuado, muchas ya no son válidas hoy en día y nos crean
trastornos, ya que seguimos aplicando algo que no nos pertenece ni nos corresponde. El ser humano
funciona de manera “psicosomática”, es decir que la mente subconsciente (psico)
manda los síntomas en el cuerpo (soma) como señal de alarma cuando algunas partes
no funcionan como deberían en relación con el resto. Vivimos una situación /
relación a la cual no encontramos solución (trauma), lo que hace
reaccionar nuestro cuerpo. Mientras guardamos la reacción en nuestro cuerpo,
guardamos una huella (emocional, física, mental, energética,…) de la historia.
Mientras guardamos la huella, repetimos la misma historia hasta que encontremos
una solución que nos sea apropiada. Tenemos que dejar
de “compensar” por los traumas
pasados, conociendo nuestras prioridades y deshaciéndonos de nuestros lastres. Como
decía C. Yung “Hasta que lo inconsciente no se haga consciente, el
subconsciente seguirá dirigiendo tu vida, y tú lo llamarás destino”. De un Evento (inmovible)sacamos una Percepción (cambiable
pero todavía real para nosotros en el presente)y se la asocia una Emoción
(irracionalmente fusionada a la percepción que tuvimos) que se vuelve real
cada vez que percibimos algo igual. La fuerza del Neuro-Training es
de proponer otra solución al cerebro y a la vez de desenchufar la huella de la
historia en el cuerpo. Y eso “de-fusionando”, es decir modificando
conscientemente la percepción (mental) que tuvimos de estos eventos
“traumáticos” e imaginando que otra salida emocional
hubiera sido posible sin tener que pasar por largos años de psicoanálisis. Esto
permite aplicar por elección consciente en adelante nuevos comportamientos
afines a nosotros mismos. Los síntomas son
señales de alarma: una parte de la historia no expresada
(hacia fuera) sigue escondida y crea un trastorno (“tras-torno
/ retorno atrás” de todo trauma no expresado que volvió a imprimirse en el
cuerpo). El Neuro-Training permite proporcionar al cerebro otros modos de
reacción haciendo conexiones conscientes del contenido del subconsciente. La Kinesiología, así como todas las modalidades de cuidado reunidas en
el Neuro-Training (se podrían listar todas la terapias, alternativas o no), permite una lectura objetiva del cuerpo para
utilizar la mejor herramienta en el mejor sitio, de manera adecuada tanto en
atención primaria como en prevención, y da informaciones en todos los
ámbitos. ¿Tan diferente del concepto moderno de “medicina
general”? De entrada, la
Organización Mundial de la salud (OMS), creada en 1946, anuncia en su preámbulo
que “La salud es un estado de completo bienestar físico, mental y social, y
no solamente la ausencia de afecciones o enfermedades”. Sin embargo, hay
que volver en el tiempo para comprender cómo llegamos al entendimiento actual
de “salud” y “medicina”. De proveniencia
divina ya que todavía no había herramientas científicas modernas, magia y
medicina no se distinguieron durante milenios, de la prehistoria (7000 años
a.C.) hasta la antigüedad (siglo VII a.C.). La práctica de los chamanes o
curanderos iniciados se basaba en el conocimiento de las plantas y la
comunicación con los espíritus. Los griegos, analíticos natos, fundaron las
bases científicas de la medicina “occidental”, disociando la medicina de la
magia, con el juramento hipocrático por ejemplo. A menudo a palos
de ciego, la medicina y la salud dieron un giro con el desarrollo industrial,
entre otros con las nociones de higiene y prevención. El progreso científico del
siglo XX buscó remediar a los males por la cirugía, la química (medicamentos) o
por medicinas naturales o alternativas (que se basan en un conocimiento
ancestral). Se ponen desde entonces en marcha sistemas de atención llamada
“primaria”, a los cuales deberían tener acceso todos los seres humanos, desde
su nacimiento hasta su muerte. Con los nuevos
descubrimientos científicos aparecieron también, curiosamente, “nuevas”
enfermedades como el sida, la depresión, el cáncer. ¿No existían o tenían otro
nombre estas enfermedades antes o quizás se interpretaban sus síntomas de modo
diferente? ¿Se deben a nuestros recientes cambios de comportamientos
alimenticios y consumistas? Existe un gran desacuerdo sobre las respuestas a
estas preguntas. Bien lo refleja
la polémica alrededor del cáncer. Desde 1930, un gran número de eruditos
afirman que hace falta un terreno ácido para que se desarrolle el cáncer. Sin
embargo, se gasta más energía y dinero en sacar al mercado nuevos medicamentos
y tratamientos (sin resultado garantizado) que en entender y prevenir lo que
crea un pH excesivamente ácido en el cuerpo, aunque sea fácil y accesible,
gracias a consejos dietéticos por ejemplo. O gracias al Neuro-Training, que ofrece
técnicas y procesos, integrados en un contexto de nutrición, en relación con el
nivel ácido-base del cuerpo, con el fin de comprobarlo y equilibrarlo. Muchos de los que han intentado hasta ahora
defender estas teorías y ponerlas en práctica a nivel gubernamental han sido
descreditados, como puede ser el caso de los doctores Hamer y Gernez. Parece
que el dinero en el bolsillo de unos pocos prevalece sobre la salud de muchos.
Y pasa igual del otro lado del Atlántico, donde la Seguridad Social está
reservada a los desamparados y las mutuas cuestan una fortuna. Los intríngulis
económicos que representan el sistema de salud y medicina actual llevan los americanos
a pensárselo dos veces antes de visitar a un médico. Como vemos, la “salud” se
negocia a base moléculas reconstituidas en pastillas y todavía cuesta admitir y
aplicar los conocimientos ancestrales y universales de las plantas naturales
que permitieron el descubrimiento de estas moléculas y de sus virtudes. Aunque poco a
poco, un número creciente de individuos está abriendo los ojos, gracias a los
medios de comunicación, y contribuyen a los tratamientos cambiando sus
comportamientos de vida. Hoy en día, ya no se considera que los médicos detengan
la verdad absoluta. Recordemos que errar es humano y los médicos no están a
salvo de faltas profesionales o motivaciones personales que afectan la
credibilidad de la profesión, atacando el vínculo humano imprescindible para la
curación. ¿Se debe entonces
considerar la medicina como una ciencia exacta a tomar al pie de la letra?
Suelen haber muchos baches en el camino entre la teoría y la práctica. Asimismo,
cualquier método o análisis científico moderno está fundado en observaciones
contextualmente ligadas a percepciones, porcentajes, probabilidades. Es decir
que todo varia en base a excepciones, todo son teorías que pueden verse
obsoletas con un nuevo contexto o modelo de funcionamiento. El Hombre, sobre
todo el Científico, necesita definir los conceptos para volverlos tangibles y
sentirse en control, en vez de sentir que algo le supera. Sin embargo,
igual que lo explica J. Chouraqui en su artículo: “No se puede comprobar
todo”. Este lado “definido” y “zanjado” del método científico le opone a menudo a todo lo que invoca lo intuitivo,
lo invisible, lo variable y lo infinito, símbolo ꚙ idealmente
proscrito como resultado de toda ecuación matemática. En la 2ª mitad
del siglo XX, la generación “New Age” y la humanidad se volvieron conscientes,
entre otros, que en oriente, y los que conocen la Medicina Tradicional China lo
sabrán, este concepto es la base de la salud. Más allá de una medicina como
tal, el estilo chino es una filosofía de vida global, fundada en el
Yin y el Yang, y que “trata de entender el ser humano, que sea en la salud o
en la enfermedad, por una gestión del equilibrio de energías internas”. La
palabra “equilibrio” es importante: cómo funcionan los diferentes sistemas del
cuerpo, de la mente y de las emociones entre sí, su relación. ¿De un disfuncionamiento mundial a una nueva era
espiritual? Se vuelve más y
más obvio cuando se habla de salud que además del cuerpo y del físico (o la
física), parece ser necesario considerar igualmente los ámbitos emocionales y
espirituales y cómo conseguir la armonía de los 3 por la energía de nuestros
comportamientos. No obstante asistimos desde varias décadas a una
generalización del fatalismo, del ombliguismo y consumismo, a un
“desencantamiento del mundo”. Para mejor o para peor, con el auge de la
comunicación e información, observamos una pérdida de confianza en las
instituciones y los valores en las cuales se construyeron las civilizaciones
que dieron luz a la nuestra. Por ejemplo, el papel del hombre y de la religión,
predominantes hasta ahora, pierde importancia y terreno. Más que en ningún
momento de la Historia, tenemos hoy en día el mayor número de información y
entendimiento del universo en el que vivimos y de los átomos que nos
constituyen. Numerosas similitudes se dibujan entre lo que se aplica de manera
“tribal” o tradicional desde hace miles de años y la comprensión que obtenemos
del universo en el que vivimos y cómo nuestra propia “máquina” funciona en el
seno de este universo. Lo que hemos llamado y todavía llamamos “magia” tiende a
encontrar un sentido nuevo, se acepta una ciencia no tan “ficción”. A fin de
cuentas todo es cuestión de semántica. Con la física
cuántica, entre otros, más y más hombres de ciencia aceptan o intentan
compaginar 2 ámbitos hasta ahora “enemigos”: la ciencia y la espiritualidad (lo
infinito, lo divino, la energía creadora). Por fin llegamos a conclusiones tan
sencillas que son perturbadoras y faltaron años para que los científicos se
rindan a su evidencia. Por ejemplo, la observación que lo que conecta el
universo entero es el espacio, “el vacío”. Aún “el 99,99999% del átomo está
vacío”, la materia representando menos de 0,001%
de todo lo que existe. Las teorías cuánticas permiten conciliar lo finito y lo
infinito, lo inmenso y lo minúsculo, cuestionando y abriendo nuevas puertas a
la física clásica. Gracias al “Modelo de
los Principios Universales” de salud de Andrew Verity, co-fundador
del Neuro-Training, se muestra la
comprensión fundamental de cómo una persona expresa sus valores a través de su
vida y vivencias individuales. Sirve para exponer la naturaleza de lo que
reprimimos de nuestra expresión innata como la causa subyacente de tantas
aflicciones en la vida: los miedos, las creencias incompatibles y las
costumbres inhibidoras que bloquean la expresión de nuestro verdadero ser. El
uso del MPU en conjunto con la monitorización del tono muscular es la
herramienta del Neuro-Training como modalidad profesional. Resulta en un modelo
unificador pudiendo incorporar cualquier forma de Neuro-Training u otras
modalidades. Comparemos las
similitudes, sobre todo el aspecto universal, entre el concepto
de Medicina en alquimia y lo que hemos visto del Neuro-Training
que incluye la Medicina China. Encontramos en ambos casos las nociones de
mental, físico y emocional ligadas a la de salud, y girando en torno a la energía
unificada del “Sí-mismo”: Curar era el
objetivo de la Gran Obra (Opus Magnus), que se aplicaba a la Medicina
Universal. Ahora bien, la panacea llevadora de los remedios a
todas las enfermedades intelectuales, morales y físicas residía
en la Piedra filosofal, preparación que no hay que buscar fuera del hombre mismo. (O. Wirth, El Simbolismo hermético, Paris, Dervy-Livres, 1969,
p.108) ¿No os sabe ahora
el Neuro-Training a Piedra filosofal? En términos de
atención sanitaria y en la sociedad actual, no todo sirve y la complejidad del
ser humano requiere soluciones adaptadas a los contextos personales de cada
cual. Lo mismo pasa con el Neuro-Training: siendo ejercido por hombres (y
mujeres) incluirá su lote de bugs, de errores de lectura y de desacreditación.
Sin embargo, la filosofía del Neuro-training no pretende ser mercantil,
exclusiva, exhaustiva o superior a ninguna otra modalidad. Ofrece una síntesis
de la mayoría de las terapias y especialidades existentes, “metiendo baza” en
el cuerpo a través de una lectura que sigue un método y un proceso científico,
actualizados constantemente con los más recientes resultados de investigación.
¿Se puede entonces decir que el Neuro-Training es una ciencia que
trata las enfermedades y que se aplica a todos los casos y a
todo el mundo? La semántica de
José Chouraqui es la siguiente: “El Neuro-Training no es medical ni
paramédico, no es una secta ni una religión. Es un planteamiento
diferente, global, completo que permite identificar y reequilibrar las
energías perturbadas para aumentar el grado de competencia, recuperación,
potencia, energía disponible de cada uno con el fin de poder usar nuestros
recursos naturales y así mejorar nuestra vida, y que no
dispensa de cualquier medicina si se requiere.”. Se perciben aquí
una necesidad de desmarcarse por una parte de los “derechos de autor”, para no
molestar lo que está en juego económicamente para algunos, y por otra parte de
lo “alternativo” para ganar en credibilidad. Esto es un resumen de mi
tesis: "El Neuro-Training, ¿una medicina universal?" Para más detalles y
referencias, podéis encontrar la integralidad del trabajo AQUÍ. |
Los segundos son los primeros de los perdedores…
Posted on May 29, 2017 at 5:15 AM |
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Bailarinas con mala pata
Posted on May 26, 2017 at 11:08 AM |
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Conclusión de mi tesis
Posted on February 1, 2017 at 3:54 PM |
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Conclusión Para concluir, y
sin olvidar que todos somos “pacientes” algún día, citaré, en orden, el
preámbulo a la Constitución de la OMS, luego Louis Cornellier a propósito de Marc
Zaffran, y por fin Sam en “Las 2 Torres”, el fiel compañero de Frodo en la saga
del “Señor de los Anillos”. La salud de todos los pueblos es una condición
fundamental para lograr la paz y la seguridad, y depende de la más amplia
cooperación de las personas y de los Estados.(13) [En cuanto al] médico, poco a poco, aprende a no
juzgar más a sus pacientes, sus sentimientos, sus actos, sus confidencias, sus
mentiras u omisiones. […] Porque el éxito de la relación de atención médica no
reside en las apreciaciones y decisiones del médico, pero en las sabias
decisiones del paciente para sí mismo.(50) - ¿A qué nos aferramos nosotros, Sam? - A lo bueno que hay en este mundo, Sr. Frodo. Y
vale la pena luchar por eso.
¿Lograremos encontrar un modo de vida no-monetizado,
aliando tecnología y medio ambiente, y ponernos de acuerdo sobre una visión
universal de la salud? Soy una utopista y orgullosa de serlo, ya que es porque
imaginamos las cosas que se vuelven posibles. Da igual la terminología, las
bazas y los juegos de palabras… En un mundo ideal, la prioridad de todos seria
el bienestar de todos. El Neuro-Training y sus innumerables facetas ofrecen
la posibilidad desde muy joven de entrenarnos a deshacernos del lastre de todo
lo que nos pesa y tender a la salud, la sabiduría y la armonía. Todo ello se
basa en proceso personal de cada miembro de la familia de los Hombres y el
desarrollo por venir de las enseñanzas del Neuro-Training y de todo lo que
contiene. De
manera interesante, después de 20 años de investigación y práctica como
cardiólogo, el Dr. Dean Ornish escribió en su libro Amor y supervivencia que ningún otro factor en la medicina, “ni la dieta, ni fumar, ni el ejercicio, ni
el estrés, ni la genética, ni las drogas, ni la cirugía”, afecta nuestra
salud, calidad y expectativa de vida como el sentirse amado y querido por
alguien. Why Love Heals (Por qué el amor cura) de Dean Shrock |
Hacia el futuro. ¿Una nueva era espiritual?
Posted on February 1, 2017 at 3:46 PM |
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III. Hacia el futuro. ¿Una nueva era espiritual? Se vuelve más y más obvio cuando se habla de salud que además del cuerpo y
del físico (o la física), parece ser necesario considerar igualmente los
ámbitos emocionales y espirituales y cómo conseguir la armonía de los 3 por la
energía de nuestros comportamientos. Los pueblos tribales que han sobrevivido
hasta hoy parecen saberlo y aplicarlo desde hace siglos. ¿Qué hay del resto del
planeta? a) Disfuncionamiento mundial Personalmente,
estoy agradecida de la valentía de nuestros antepasados “civilizados” en las
revoluciones, de su creatividad e ingeniosidad en todos los descubrimientos,
para muchos obsoletos y coleccionables hoy en día (como el pulmón de acero
(31)), que llevaron a los conocimientos a los que tenemos acceso actualmente. No obstante
asistimos desde varias décadas a una generalización de los comportamientos
fatalistas, del ombliguismo y consumismo, a un “desencantamiento del mundo”, “eliminación de la magia como medio de
salvación”, según Max Weber “acompañada
por la subida espectacular de la política” (32). Para mejor o para peor,
con el auge de la comunicación e información, observamos una pérdida de
confianza en las instituciones y los valores en las cuales se construyeron las
civilizaciones que dieron luz a la nuestra, civilizaciones en su mayoría
patriarcales (la imagen masculina predomina). Las mujeres (que entre otros
tienen ahora derecho a votar y a la minifalda en España (33)) y los hombres
(que siempre fueron los que votaban y llevan falda en Escocia) tienen que
encontrar nuevas referencias masculinas (Yang) y femeninas (Yin) en unas
sociedades, principalmente en el mundo occidental, artificiales. Las mujeres
tienen hoy más “libertades”, digamos más bien más elección en su vida familiar
(se divorcian), profesional (trabajan) y sexual (ya no están sistemáticamente
embarazadas y cuando es el caso, pueden decidir abortar). Casi ya no necesitan
a los hombres para procrear. En un lapso de
tiempo muy corto a la escala de nuestra Historia, la Iglesia, que ojo
predominaba, pierde más y más terreno (casi un cuarto de la población mundial
se considera sin religión o ateo (34)), las mujeres lo ganan y el Hombre ha
desencadenado una explosión industrial además de tecnológica, sin poder dominar
por completo su impacto y los meollos económicos, conmocionando con ello los valores
familiares y sociales. Resultado en
términos de salud: una brecha enorme entre los intereses de los gobiernos y los
de los individuos. El caso del Profesor Joyeux - “Pr. Alegre” – quien se
atrevió en “instilar una duda sobre [una]
vacuna […] siete veces más cara” (35) y no más eficaz, testifica de ello.
Frente a un malestar creciente de los ciudadanos hacia las instituciones, más y
más gente en el mundo decide hacerse dueños de sus vidas, encontrar soluciones
que les son más adaptadas, más naturales que las que se consideran
“convencionales” y experimentar por si mismos los efectos que un simple cambio,
alimenticio por ejemplo (36), puede tener en sus vidas y en su salud física,
emocional y mental. b)
Lo invisible a alcance de mano Al margen de la dimensión monetaria, el siglo XXI con los descubrimientos
científicos y tecnológicos de los que beneficiamos nos abren nuevas puertas
hacia el cosmos, lo invisible, lo infinitamente grande o pequeño. Numerosas
similitudes se dibujan entre lo que se aplica de manera “tribal” o tradicional
desde hace miles de años y la comprensión que obtenemos del universo en el que
vivimos y cómo muestra propia “máquina” funciona en el seno de este universo.
Lo que hemos llamado y todavía llamamos “magia” tiende a encontrar un sentido
nuevo, se acepta una ciencia no tan “ficción”. A fin de cuentas todo es
cuestión de semántica, es la conclusión que saque con 20 años de mi lectura de
“Ciudad” de Clifford D. Simak, en el que, durante siglos, los perros polemizan
alrededor del fuego sobre la existencia de los hombres, y mandan en el último
capítulo un robot para pedir consejo a los “Webster”. Teniendo un poco de
perspectiva, uno se puede preguntar si ¿el Hombre es el único responsable de su
Historia, o si soporta influencias afectando todo el planeta?, aun, si ¿el
planeta mismo nos influencia por su magnetismo? En efecto, hemos aprendido que
le influenciamos con nuestros comportamientos, que estamos sometidos a la
fuerza gravitacional lunar, y que los rayos del Sol repercuten en todo su
Sistema. Sabemos ahora también que muchos animales usan ondas eléctricas,
frecuencias o el magnetismo del planeta para comunicar o ubicarse. Por ejemplo
el ornitorrinco detecta sus presas a las ínfimas modificaciones de campos eléctricos que provocan los mínimos
movimientos de insectos o larvas(37) y las Ampollas de Lorenzini(38) permiten al tiburón percibir las más
finas interferencias electromagnéticas, como las del campo magnético terrestre
o las contracciones musculares de una presa. Y solo porque nosotros humanos
ignoramos cómo utilizar esta sensibilidad no significa que no exista, o que
nuestra “máquina” no contenga el
programa de tal receptividad sensorial. Imaginad ¡qué consecuencias podría
tener la energía de una inversión o excursión del campo magnético terrestre en
nuestros cuerpos, mentes o emociones…! ¿Sabíais que el polo norte magnético de la tierra se está desplazando de Canadá a
Siberia con una tasa de 10 kilómetros por año a una velocidad que continua acelerándose? (39) Y para la
comunidad científica, “es difícil decir
si las variaciones observadas [recientemente] son señales de una nueva
inversión o excursión geomagnética.” (40) Con la física cuántica, entre otros, que se
interesa por el infinitamente pequeño, más y más hombres de ciencia aceptan o
intentan, como el físico Nassim Haramein (41), compaginar 2 ámbitos hasta ahora
“enemigos”: la ciencia y la espiritualidad (lo infinito, lo divino, la energía
creadora). En resumidas cuentas, buscando el elemento que permitía conectar el
universo entero, la conclusión de N. Haramein es tan sencilla que faltaron años
para que los científicos se rindan a su evidencia. Lo que nos une, es el
espacio, “el vacío”. Aun “el 99,99999%
del átomo está vacío” (42), la materia representando menos de 0,001% de
todo lo que existe. Sus teorías permiten conciliar lo finito y lo infinito, lo
inmenso y lo minúsculo. Y aunque este físico siga censurado y abucheado por
muchos de sus colegas (Wikipedia se niega a cualquier literatura al respeto
(43)), la popularidad(44) de sus
teorías fractales(45) se propaga a
velocidad luz. ¿La medicina y el Neuro-Training siguen la misma tendencia? c) El Neuro-Training en todo eso… Doy gracias por vivir en una época en la que el “Durmiente debe despertar” (Película
Dune de David Lynch, 1984) y encuentro en muchas de las ideas enunciadas arriba
el mismo paralelo con los fundamentos del Neuro-Training, esta dimensión
infinita y universal, así como la necesidad de todas las especialidades científicas
(o no) que engloba. Esta disciplina representa para mí un método de traducción
del universo siguiendo un idioma físico y los estados de ánimo de cada uno, con
el fin de vivir en plena conciencia. Pocas enseñanzas medicales o terapéuticos
hoy en día sintetizan tal cantidad de información, abren tantas ventanas sobre
tanto saber y sabiduría acumulados a lo largo de los milenarios. Comparemos las similitudes, sobre todo el aspecto universal, entre el concepto de Medicina en alquimia según el diccionario francés CNRTL (46) y el
“Modelo de los Principios Universales”
de salud de Andrew Verity (47), co-fundador del Neuro-Training. Modelos de los Principios Universales♦ ALQUIM. Medicina universal, medicina de los tres reinos. Piedra filosofal. Curar era el
objetivo de la Gran Obra (Opus Magnus), que se aplicaba a la Medicina
Universal. Ahora bien, la panacea
llevadora de los remedios a todas las
enfermedades intelectuales, morales y físicas residía en la Piedra
filosofal, preparación que no hay que buscar fuera del hombre mismo. (O. Wirth, El
Simbolismo hermético, Paris, Dervy-Livres, 1969, p.108). (46) Y aquí contiguo, el Modelo de los PrincipiosUniversales(47), seguido de la
traducción de su uso, encontrado en la página: http://www.neuro-training.com/ Andrew Verity, director de
Neuro-Training P/L, ha desarrollado el Modelo de los Principios Universales
(MPU) que es un modelo de trabajo realmente universal para el Neuro-Training.
Muestra la comprensión fundamental de cómo una persona expresa sus valores a
través de su vida y vivencias individuales. El MPU expone la naturaleza de lo que
reprimimos de nuestra expresión innata como la causa subyacente de tantas
aflicciones en la vida [círculos
o triángulo central], los miedos, las
creencias incompatibles y las costumbres
inhibidoras [puntas] que bloquean la expresión de nuestro
verdadero ser. El uso del MPU en conjunto con la
monitorización del tono muscular es la herramienta del Neuro-Training como
modalidad profesional. Resulta en un modelo unificador pudiendo incorporar
cualquier forma de Neuro-Training u otras modalidades. (48) Encontramos en los dos casos las nociones de mental, físico y emocional ligadas
a la de salud, y girando en torno a la energía unificada del “Sí-mismo”. ¿Esto
no os sabe a Piedra filosofal? En términos de atención sanitaria y en la
sociedad actual, no todo sirve y la complejidad del ser humano requiere
soluciones adaptadas a los contextos personales de cada cual. Lo mismo pasa con
el Neuro-Training: siendo ejercido por hombres (y mujeres) incluirá su lote
de bugs, de errores de lectura y de desacreditación. Solo reconozcamos que
existen personas con la vocación de curar motivada por una preocupación de
traer la salud, y otras que se dirigen hacia la medicina por el interés
económico que les representa. La filosofía del
Neuro-training no pretende ser mercantil, exclusiva, exhaustiva o superior a
ninguna otra modalidad. Ofrece una síntesis de la mayoría de las terapias y
especialidades existentes (reconocidas oficialmente o no, se aceptan donaciones
personales), “metiendo baza” en el cuerpo a través de una lectura que sigue un
método y un proceso científico, actualizados constantemente con los más
recientes resultados de investigación. ¿Se puede entonces decir que el
Neuro-Training es una ciencia que
trata las enfermedades y que se
aplica a todos los casos y a todo el mundo? Retomando los términos de la WONCA de la introducción, el Neuro-Training se puede ver como una disciplina científica y posiblemente académica (igual que se está volviendo la
kinesiología), con contenidos pedagógicos, investigación, evidencia
fundamentada y actividad clínica propios. Es una terapia manual orientada a la
prevención y la atención primaria personalizadas, a nivel físico, emocional,
mental y energético. La semántica de José Chouraqui es la siguiente: “El Neuro-Training no es medical ni paramédico, no es una secta ni una
religión. Es un planteamiento diferente,
global, completo que permite identificar y reequilibrar las energías
perturbadas para aumentar el grado de competencia, recuperación, potencia,
energía disponible de cada uno con el fin de poder usar nuestros recursos
naturales y así mejorar nuestra vida, y
que no dispensa de cualquier medicina si se requiere.” (10).
Percibo aquí una necesidad de desmarcarse por una parte de los “derechos de
autor”, para no molestar lo que está en juego económicamente (o egoístamente)
para algunos, y por otra parte de lo “alternativo” para ganar en credibilidad. ¿Será el nombre
de esta disciplina que causa problemas? Con todo ya sería ideal concertarse
para encontrar un apellido al que cada miembro de “la familia que cura” podría
identificarse. En cuanto a la medicina “oficialmente reconocida”, a la que la
kinesiología y el Neuro-Training no pertenecen, encuentro en la conclusión
de este artículo de la Historia de la Investigación Medical en Salud Pública en
Francia durante el siglo XX (49) unos objetivos comunes a los que sería
ejemplar tratar de alcanzar juntos, “generalistas” y “Neuro-Entrenadores”. En fin, como consecuencias
de los avances de las ciencias de la vida, de “preventiva”, la medicina hoy en
día pretende llegar a ser “predictiva” para retomar el neologismo formulado por
el Pr. Jean Dausset, fundador del Centro de Estudios del Polimorfismo Humano
(CEPH). “La medicina predictiva permite la identificación de
individuos sanos que tienen predisposición a desarrollar una determinada
enfermedad…/ Asimismo, el concepto concierne todo sujeto que aun los exámenes
clínicos y complementarios más avanzados declaran indemne de la afección
temida. La medicina predictiva va más allá, haciendo posible la identificación
de individuos que no tienen tal predisposición o que incluso se encuentran
protegidos por una especial resistencia genética…/ De esta forma la medicina
predictiva es principalmente probabilística, oponiéndose a la medicina
preventiva, generalmente de masas…/ Sin embargo, se puede decir que la medicina
predictiva es una medicina preventiva individualizada ya que permite asesorar
adecuadamente sobre un modo de vida, una profesión, una dieta u otros e
instaurar un control regular y, si se da el caso, un diagnóstico y un
tratamiento precoz y más eficaz. Eso a condición de que la revelación del
riesgo no conlleve trastornos psicológicos y que las ataduras de la prevención
no sean muy pesadas…” (J. Dausset, Bul.
Acad. Nac. Med. 184. 7. Sesion del 10 octubre de 2000).
A la espera de las promesas de una futura genoterapia,
el desarrollo de la medicina genómica ya ha suscitado progresos notables en
materia de diagnóstico prenatal, así como de identificación de riesgos de
enfermedades crónicas. Restableciendo el dialogo entre el especialista y su
paciente, o por lo menos su genoma, la medicina actual se reconcilia con la
vieja noción de “terreno” y prepara probablemente así el acercamiento de las
dos grandes funciones que representan la atención y la prevención médicas. ... |
La salud en el siglo XXI
Posted on January 29, 2017 at 2:35 PM |
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II. La salud en el siglo XXI Aquí tenemos que poner un poco las cosas en perspectiva. Todos hemos nacido
en un mundo en el que la salud y la medicina se han vuelto nociones reconocidas
y buscadas. La Organización Mundial de la salud (OMS), creada en 1946, anuncia
en el preámbulo a su constitución que “La
salud es un estado de completo bienestar físico, mental y social, y no
solamente la ausencia de afecciones o enfermedades” (13). ¿Ha sido siempre
el caso? ¿Estas nociones significan lo mismo para todo el mundo? a) La enfermedad en la historia Hubo, y quizás todavía hay, épocas y continentes en los que uno acababa en
la hoguera por hablar de microbios, por ejemplo… Porque para muchos, lo que se
relacionaba con lo invisible le incumbía a Dios (o a los dioses) y cualquier
otro intento de explicación era una herejía. Según el artículo francés de Wikipedia,
“estas ideas siguen siendo muy comunes,
con la fe de curar por la oración y el recurso a santuarios en algunos lugares,
aunque la subida espectacular de la medicina científica durante el último
milenario ha superado y vuelto obsoletas muchas creencias antiguas.” (14)
Sin embargo, los principios basados en las tradiciones milenarias que
perduraron nos permiten abrirnos a cierto conocimiento que muchos han sabido
dominar durante siglos “sin microscopio o telescopio”. Desde la prehistoria, la cultura tribal de las plantas y la comunicación
con los espíritus se transmitían a iniciados hoy designados como curanderos o
chamanes. Objetos de cirugía dental remontándose a 7000 años a.C. son los
rastros más antiguos de instrumentos médicos que se hayan encontrado. Las
primeras referencias a la medicina datan del tercer milenario a.C. (la momia
europea más antigua, muerta en 3300 a.C.) en las antiguas Grecia, India, Persia
y el antiguo Egipto. La medicina tradicional China se basa en principios que
también parecen remontarse al tercer milenario antes de nuestra era. Fueron los
Griegos, a partir del siglo VII a.C., los primeros en disociar la medicina de
la magia, fundando así las bases de la medicina “occidental”, a una época en la
que los matemáticos eran la mayoría del tiempo también filósofos. El juramento
hipocrático data de este periodo, en el que prevalecían la lógica y la
deducción de los sentidos por el razonamiento. Con el fin de ir directo a lo esencial, hagamos una elipsis sobre Avicena y
de más, ya que Wikipedia dedica un artículo muy completo sobre la Historia de
la medicina con detalles de cronología y diferenciación geográfica de su
evolución. Expongamos aquí un breve historial, más moderno, de la noción de salud en
el mundo “occidental”: (15) Primero, se puede decir que la salud se define
negativamente como la ausencia de enfermedad. En el siglo XVII, aparecen los términos de “trastorno”, de “gases”, para indicar no una enfermedad sino una indisposición. En el siglo XIX, * Con el desarrollo industrial, emerge la noción
de accidente de trabajo * Con la corriente higienista, la preocupación se
centra en ~ las condiciones de vivienda y urbanismo ~ la higiene corporal de los individuos ~ la higiene social (moral, comportamientos…) * Se forma así la idea de prevención de la
enfermedad por la higiene, la vacunación, la alimentación, etc… En el siglo XX, * Con el progreso científico, se busca remediar a
los males por la cirugía, la química o por medicinas naturales o alternativas * A partir de 1945 surge la noción de derecho del
Hombre al bienestar físico, mental y social. Se ponen entonces en marcha sistemas de atención
llamada “primaria”, a los cuales deberían tener acceso todos los seres
humanos, desde su nacimiento hasta su muerte. Están constituidos por: * la educación * la higiene (agua potable, saneamiento,
nutrición) * la planificación (política familiar,
“protección maternal infantil”) * la vacunación sistemática * los medicamentos llamados “esenciales”
Nos basaremos entonces en
nociones occidentales para hablar de la medicina que hoy en día se llama
“generalista” y nos referiremos al documento de 2002 de la Sociedad Europea de
la medicina generalista – medicina de familia o WONCA: (2) "A partir de las
definiciones contenidas en este documento se pueden derivar las agendas para
educación, investigación y control de calidad, a fin de garantizar que la
medicina de familia se desarrolle para responder a las necesidades de atención sanitaria de la población en el siglo XXI.” “Para caracterizar el sistema de atención a la salud, el modelo
presentado aquí es el que se acepta generalmente" (16)
b) Aquí y ahora Con la toma de consciencia del siglo XX sobre la
salud, nuevos remedios y descubrimientos científicos han aparecido y, curiosamente también,
“nuevas” enfermedades como el sida, la depresión, el cáncer. ¿Será que no
existían estas enfermedades antes? ¿Que tenían otro nombre? ¿Que encuentran sus
causas en nuestros recientes cambios de comportamientos alimenticios y
consumistas? O quizás ¿se interpretaban sus síntomas de modo diferente? Existe
un gran
desacuerdo sobre las respuestas a estas preguntas. Una patología todavía poco
conocida y sin embargo tan común es la apnea del sueño, y la gente que lo
padece han sido objeto de los reproches de sus compañeros de lecho durante a
veces toda una vida. Vivir en el siglo XXI les ha permitido minimizar sus
ronquidos sonoros gracias a una máquina que les ayuda a respirar, permitiendo
así el descanso y la recuperación del descanso del “enfermo” así como de su/s
[email protected]/s de cama. Por otra parte, en 1930, el Dr. O. H. Warburg ya había descubierto que «ninguna enfermedad, incluso el cáncer, puede
existir en un ámbito alcalino» Según
él, la causa principal del cáncer está vinculado con una acidez excesiva en el
organismo.” (17) Queda por saber lo que provoca esta acidez y cómo mantener el pH en el organismo. Parece entonces que le cáncer se pueda abordar eficazmente en la fase de
prevención y así evitar de modo económico que la patología se desarrolle. Sin
embargo hoy en día, gastamos cantidades astronómicas en atención terciaria
(crujía, quimioterapia) para tratar los síntomas de esta enfermedad, sin por
ello garantizar resultados de remisión. El Neuro-Training ofrece técnicas y
procesos, integrados en un contexto de nutrición, en relación con el nivel acido-básico
del cuerpo, con el fin de comprobarlo y equilibrarlo. Sumergiéndonos en la
historia de los doctores Hamer y Gernez, o visionando “Una verdad incómoda” de Davis Guggenheim y presentado por Al Gore, se
adivina porque no es en el interés de algunos fomentar la salud y la
prevención. En efecto, en el momento de presentar los resultados espectaculares
de su protocolo contra el cáncer, le respondió el Director General de la Salud
Publica al Dr. Gernez que “la aplicación general del protocolo
preventivo llevaría a un aumento de 7 años la longevidad media y volvería sin
solución el problema de sobrepoblación de las residencias de tercera edad.”.
(18) En un esfuerzo de mundialización y “estandarización” de la medicina, el
mundo occidental se preocupa a menudo más de la eficiencia y del rendimiento
que del trato al paciente, y eso que favorece la prevención. En los centros de
Salud, el doctor tiene 7 minutos contados que conceder. Según la WONCA, “la literatura internacional demuestra que
los sistemas de salud basados en una atención primaria eficaz, con médicos
generalistas (médicos de familia) de nivel de formación elevado y practicando
en el seno de la comunidad, proveen una atención más rentable y eficiente a
nivel clínico que los sistemas menos dirigidos hacia la atención primaria.” (16) “Un ámbito que vio incrementarse su
importancia estos últimos años es el concepto de la autonomía del paciente y,
vinculado a ello, el papel del médico generalista – médico de familia en su
desarrollo de la valoración del paciente para lidiar con sus enfermedades y
para con ello contribuir al tratamiento
cambiando su comportamiento. Es probable que su importancia aumentara ya
que los pacientes están mejor informados gracias a sistemas de información
variados y accesibles, como internet.” (16) De hecho, la época en la que lo que decían los
médicos iba a misa está pasada. Éstos se encuentran más y más confrontados a
pacientes que se auto-diagnostican y auto-medican, y por consecuente, a un
escepticismo creciente. Recordemos también que errar es humano y los médicos no
están a salvo de faltas que se pueden volver profesionales o de motivaciones
que les son personales, afectando la credibilidad de la profesión a los ojos de
muchos, atacando el vínculo humano imprescindible para la curación. (20) ¿Se debe entonces
considerar la medicina como una ciencia exacta? c) ¿Confianza en la ciencia? Igual que en cualquier teoría, aun
infalible, la puesta en práctica genero su grado de disfuncionamiento. El método científico moderno (21) se basa generalmente
en la demostración matemática y mucha gente hoy en día, refuta rotundamente las
conclusiones por deducciones empíricas. Asimismo, cualquier análisis científico
está fundado en percepciones, porcentajes, probabilidades. Poner límites hace
que las cosas se vuelvan más perceptibles, de allí la necesidad del Hombre de
“definir” los conceptos para que se concreten sus contornos. Sin embargo, igual
que lo explica J. Chouraqui en su artículo: “No se puede comprobar todo” (22). Aún algunas “constantes” y
observaciones científicas con todo objetivas están truncadas por la
subjetividad de los medios y comprensiones de la época en la que se descubren y
tienen que ser cuestionados constantemente. Tomemos por ejemplo la gravedad
(Newton y su manzana), representada por un número que muchos consideran como
“constante”. Ahora bien, muchos factores influencian el cálculo de su número,
ya que “este valorestá establecido a altura 0, en un elipsoide
ideal acercándose a la superficie terrestre, por una latitud de 45°” (23).
La exactitud de esta constante, que
parece no obstante refutable, se sigue enseñando en las escuelas como tal,
precisando que “al contrario de otras constantes físicas, no existe ningún valor G que sea exacto por definición”. La
observación de seres fuera de su ámbito natural también puede dar lugar a
ciertas aberraciones. La mantis religiosa sigue siendo tachada de canibalismo sexual(24), resultado de su
comportamiento en cautividad, ya que su observación llevo a la conclusión que
en este tipo de insectos, la hembra devoraba al macho después de copular. En la
naturaleza, afortunadamente para la especie, el macho tiene generalmente un
margen de tiempo, y sobre todo de espacio, para escapar a su compañera de
repente hambrienta. Este lado “definido” y “zanjado” del método científico (25) le opone a menudo
a todo lo que invoca lo invisible, lo variable y lo infinito, símbolo ∞ idealmente
proscrito como resultado de toda ecuación matemática. Entramos allí en el
terreno espiritual y religioso, al que el estereotipo del científico diría
“¡Apártate, Satanás!” El efecto placebo (y por extensión el
efecto nocebo (26)) es otra “verdad
incómoda” para los médicos, así como lo explica la Dra. Lissa Rankin (20). ¿Por
qué molesta tanto admitir que algunas cosas nos superan, o que la mente (lo
espiritual) y las relaciones humanas pueden infectar o curar el cuerpo? Desde
Descartes, la religión ha llegado a excluir la ciencia y vice-versa. ¿Son
realmente la religión y la ciencia que se enfrentan en sus fundamentos? ¿O los
hombres y su interpretación de dónde han colocado sus miedos y sus esperanzas
desde hace siglos? Por otra parte, la compartimentación de
las diferentes especialidades, con todo fundamentalmente necesarias, acaba a
veces siendo contra-productiva por falta de un enfoque global, que permitiría
vincular las especialidades y la relación que tienen entre ellos los síntomas
del paciente. ¿Existe tal enfoque en medicina? d) Vuelta a los orígenes En la 2ª mitad del siglo XX, la generación
“New Age” y la humanidad se volvieron conscientes, entre otros, que formaban
parte de “algo más grande” y con el nacimiento del movimiento “ecologista”, de
cómo impactaban el planeta. Eso se refleja mucho en Alemania. Las palabras de
grandes sabios dan más y más la réplica en nuestras cabezas (y en Facebook), como
estas de Gandhi: “Si quieres cambiar al mundo, cámbiate a ti mismo.” Las mentes
y consciencias se están despertando y un número cada día más grande decide
abandonar el rebaño (la píldora azul de la película Matrix). Se observa un
rechazo creciente de la medicina “antibiótica” y las virtudes de más y más
disciplinas terapéuticas etiquetadas “alternativas” o “paramedicales” están
reconocidas de manera global, (la acupuntura, la macrobiótica, la osteopatía, las
flores de Bach, etc…) y los métodos de coaching y desarrollo personal rebosan.
El mundo occidental empieza a abrirse, a aplicar y a incorporar los beneficios
de la medicina tradicional China. ¿Plantea realmente un modelo de salud tan
diferente del “generalista” que conocemos? Más allá de una medicina como tal, el
estilo chino es una filosofía de vida global, basada en el Yin y el Yang, y que
“trata de entender el ser humano, que sea
en la salud o en la enfermedad, por una gestión del equilibrio de energías
internas”. (27) Con
miles de años de antigüedad, la Medicina Tradicional China (MTC) es un
“sistema”, es decir un conjunto de teorías (explicaciones) y de prácticas
(técnicas) en relación con el humano y su salud. Su relativa complejidad, para
los occidentales, se debe sobre todo a los hechos siguientes: · Posee
su propia base filosófica y simbólica. · Ve
al cuerpo, el corazón y la mente como un todo. · Fue elaborada, no disecando muerto, pero observando los
vivos. Asimismo, nada se considera estático. · Ve
los fenómenos, no en sí mismos, pero a partir de las relaciones entre sí. Por
consecuente, la salud de un órgano o de una persona depende de múltiples
factores, todos vinculados entre sí. · Utiliza varios términos usuales en un sentido diferente
del que se entiende comúnmente en Occidente. Para
asegurar el bienestar en los humanos, la MTC recurre a 5 prácticas principales: · La
acupuntura · La
farmacopea china (hierbas medicinales) que coincide a menudo con la cocina
china con el uso de sabores · La
dietética china · El
masaje Tui Na · Los
ejercicios energéticos: ~ El Qi Gong ~ El tai-chi Si
la MTC tiene como primer objetivo mantener la salud y prevenir las
enfermedades, también puede curar la mayoría de los problemas de salud
(puntuales o crónicos), de los cuales trastornos cutáneos,
musculo-esqueléticos, neurológicos, digestivos, respiratorios, genitales,
hormonales, así como varias infecciones y problemas emocionales. Las
personas formadas a las 5 prácticas llevan el título de Doctor en Medicina
China. Si solo están formadas en una o varias de estas prácticas, llevan un
título especifico, acupuntor, herborista, etc. (28) ¿Y a qué se reconoce un buen médico en
China? Al hecho de que ninguno de sus pacientes está enfermo. La Medicina Tradicional China tiene como
idea base el mantener el paciente con salud, y por lo tanto, prevenir más bien
que curar. Por esta razón en la China antigua, se le pagaba al médico
cuando el paciente gozaba de salud, y si caía enfermo, al médico no se le
pagaba hasta que este curado (29). El médico farmacólogo Li Shi Zhen
(1518-1593) dijo lo siguiente sobre el significado de la prevención: “curar
enfermedades es esperar a tener sed para cavar un pozo, o fabricar armas
después de que la guerra ya ha comenzado”: No funciona, había que pensar en ello antes. (30) Las nociones de energía, de emoción, elección,
control, relación, cambio y sobre todo de escuchar el cuerpo son como vemos las
principales bases para los chinos en términos de salud. Ahora bien, para el común
de los mortales, nada de todo eso es realmente tangible o realmente medible y
sin embargo… los resultados están aquí. ... |
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